Je voudrai revoir tous que ne reviendra jamais ...
mercredi, mai 28, 2008
In the evening i am running
That moment, when silence invades the record store and she closes her eyes, quite embarassed.. for those seconds she's just... lovely. That second by itself could justify this post. Even if these songs haven't followed me for the last few months...
Dans quelques instants, en sortant de ce restaurant, il conduira sous la pluie. Avant de dépasser la deuxième voiture il aura peur... Peur d’avancer dans le noir… De se détacher du passé… De se perdre. Les phares dans ses yeux auront l’éclat pour le retacher. La nuit déploi les afects, des hésitations, les convictions plus faibles. C’est déplorable… De sentir cette inquiétude, quand s’agit de retrouver l’assurance qu’on a perdu. Il se souviendra de Jean-Louis Duroc. De son voyage entre Montecarlo et Paris, et du retour à Deauville. Pendant la nuit, sous la pluie. Les mêmes hesitations, les mêmes faiblesses. Avant de dépasser la deuxième voiture il rêvera, suspendu et immerse dans ses mots. Dans la mesure précise de son significance. De ses gestes. De son souris. Il manquera le souris de cette fille pendant toute la nuit... Dans quelques instants, en sortant de ce restaurant... Sous la pluie...
Damon Albarn and Afel Bocoum live at Barbican Hall, London, March 2002
Nos primeiros momentos um irrequieto serpenteado. Repetido e irregular, como o sobressalto que nos toma ao fecharmos os olhos contra a almofada. Quando diante de nós reconhecemos nada mais do que vultos e vozes. Quando o corpo se rende e a memória estremece. Quando a noite ajusta contas com os afectos. Sentença de mais desencontros. A caminho do desterro da saudade. De volta à violenta realidade que pela manhã nos encontra rarefeitos, sentimos algum conforto nos primeiros raios de sol. Passo a passo paramos de nos questionar e procuramos nos distanciar. Estanques em palavras. Guardando o que sentimos de forma depurada e verdadeira...